Les différentes rivalités entre signes cardinaux fixes et mutables ?

Certains signes astrologiques sont plus portés à la rivalité que d’autres. Que révèle votre thème natal ?

La rivalité est une des pulsions majeures de l’être humain. Elle est illustrée dans la Bible par Abel et Caïn et par Joseph et ses frères. Elle fut la cause – et le demeure – de nombreuses luttes sanglantes au cours de l’histoire. Comment, dans ces conditions, se révèle-t-elle dans un contexte astrologique ? Est-il possible, en comparant le thème natal de deux individus, de déceler s’ils risquent de s’affronter ? Enfin, existe-t-il des signes plus sujets aux conflits que d’autres ?

Les signes cardinaux

En règle générale, les signes cardinaux (Bélier, Cancer, Balance et Capricorne) ont tendance à rivaliser et à s’opposer entre eux. Ceci s’explique par le fait qu’ils sont tous des signes actifs et énergiques, naturellement ambitieux et portés à se fixer des objectifs. Simultanément, comme ils appartiennent à des éléments différents, chacun possède une approche spécifique des problèmes. Ils s’opposent donc fréquemment !

Les signes cardinaux tendent à s’affronter dans tous les domaines de la vie, du sport à la politique, de la scène ou de l’écran au royaume des affaires et de la finance. La rivalité qui opposa pendant de nombreuses années le Capricorne Jacques Anquetil au Bélier Raymond Poulidor à l’occasion du Tour de France en est un bon exemple. Cependant, les deux signes cardinaux ne constituent pas une véritable paire de signes opposés comme, par exemple, le Bélier et la Balance, ou le Cancer et le Capricorne. Bien qu’elle ne soit pas rare, la rivalité entre signes opposés semble être moins fréquente qu’entre deux autres signes cardinaux. Il existe une plus grande harmonie naturelle entre ces paires astrales.

 Les signes fixes

Les heurts se produisent également entre les individus appartenant à deux signes fixes ou à deux signes mutables. Pour les premiers, les antagonismes semblent plus définitifs, sans grand espoir de réconciliation, en raison de leur nature même. Les signes fixes (Taureau, Lion, Scorpion et Verseau) n’abandonnent pas facilement et sont dotés d’une plus grande ténacité que les autres signes. Entre eux, ils sont sur un pied d’égalité et aucune des deux parties en présence ne veut céder. On comprend dans ces conditions que les rivalités entre signes fixes aient tendance à s’éterniser et à s’achever par un match nul ! Les Verseau font cependant exception à cette règle. En raison de leur nature indépendante, ils ne sont guère attirés par la compétition. Mais cela ne les empêche pas de se montrer parfois terriblement têtus ! Les conflits entre signes fixes concernent généralement des problèmes d’argent, de biens matériels ou de contrats.

 Les signes mutables

Les individus appartenant à des signes du groupe mutable (Gémeaux, Vierge, Sagittaire et Poissons) connaissent eux aussi des différends entre eux, qui portent surtout sur des théories, des idées et des objectifs intellectuels, plutôt que sur des problèmes matériels. Ceci ne les empêche pas de s’opposer âprement sur un cours de tennis, comme le montre le deux défaites en 1989 et 1990 de Steffi Graff, une native des Gémeaux, contre les Sagittaire Aranxa Sanchez et Monica Sélès, en finale de Roland Garros. On retrouve cette même combinaison de signes (Gémeaux et Sagittaire), avec les scientifiques Francis Crick et Maurice Wilkins, qui menèrent avec le Bélier James Watson la course pour la découverte de l’ADN (acide désoxyribonucléique : le principal constituant des chromosomes des organismes vivants). S’il arrive aux natifs de ces quatre signes de se quereller, leur qualité mutable les pousse à oublier très vite leur désaccord.

 Les autres combinaisons de signes astrologiques

Il existe d’autres combinaisons de signes particulièrement sujettes aux affrontements : entre deux signes qui se suivent ou qui sont séparés par cinq signes. Dans ces deux cas, des éléments différents et des quadruplicités incompatibles entrent en jeu. La combinaison du Taureau et des Gémeaux en est un bon exemple. La rivalité entre les natifs de signes séparés par cinq signes est acharnée et fréquente dans le domaine du sport. L’on songe à Jimmy Connors, du signe de la Vierge, et à Mc Enroe, un Verseau !